DEMOCRATIE ET SOLIDARITE
UN PROJET
POUR ETRECHY
2008-2014
VI -
POUR DES FINANCES SAINES.
Le constat. La nature de la dépense compte autant que son volume.
Pour mieux dépenser, il faut se doter de bons outils
de gestion et éviter les acquisitions ou réalisations
irréfléchies. Ce nest pas le cas actuellement
à Etréchy où lon constate des choix
surprenants. Dun côté les services communaux
manquent de moyens ce qui nuit à la qualité du
service rendu et aux conditions de travail du personnel. De
lautre, on sautorise des «largesses»
avec des réalisations coûteuses telles que les
serres ou lespace Jean Monnet. Ces équipements,
ne serait-ce que par leur dimension, ont une vocation plus large
que le strict cadre communal et auraient pu être financés
par la communauté de communes.
Nos propositions.
La rigueur et la transparence seront notre ligne de conduite
en matière de gestion. Ce sont les conditions indispensables
pour la mise en uvre dun projet ambitieux mais
réaliste. Dans ce domaine nous nous attacherons à
préserver des finances saines en optimisant la dépense
(il ne sagit pas de dépenser plus, mais de dépenser
mieux !).
Pour y parvenir notre action visera à :
Rechercher
activement les financements extérieurs (subventions).
Cest là un travail difficile mais essentiel qui
permet de ménager les finances de la commune.
Doter la commune
doutils de gestion et de contrôle performants,
par exemple en mettant en place une comptabilité analytique
par service. Il sagit ici de mieux cerner la réalité,
la nature et lévolution de la dépense pour
être en capacité dapporter les correctifs
nécessaires.
Etablir une
véritable programmation pluriannuelle des investissements.
On ne peut plus se satisfaire du tâtonnement auquel on
assiste actuellement avec des dépenses inscrites sur
un exercice et reportées dexercice en exercice
en fonction des aléas des réalisations. Le recours
aux autorisations de programme et le vote du budget en année
civile permettront de remédier à cette situation
avec aussi une meilleure transparence budgétaire.
Inciter à
la mutualisation des moyens pour les équipements et les
services qui peuvent être partagés dans le
cadre communautaire.
Etablir un diagnostic énergétique
pour les bâtiments communaux de manière à
diminuer les consommations.
Optimiser
la commande publique et le suivi des travaux confiés
à des prestataires. Il faut que le coût final
dune opération soit le plus proche possible du
coût initialement prévu. Les dérives auxquelles
nous avons assistées lors de la restructuration de lespace
Jean Monnet ne sont pas acceptables. La commune ne doit pas
faire les frais dune prévision et dun suivi
approximatifs.
Renégocier
la dette lorsque les taux et la conjoncture le permettent.
Simpliquer
dans laccueil dentreprises nouvelles, petites
et moyennes sur une zone dactivité repensée
et cohérente.
Sur ces bases, nous nous engageons à maîtriser
la pression fiscale pesant sur les ménages. La stabilité
des taux ne fait pas dEtréchy un paradis fiscal
contrairement à ce que voudrait faire croire la propagande
municipale. Limpôt local dépend certes du
taux mais surtout des bases (valeurs locatives) auxquelles il
sapplique. Or il se trouve que ces valeurs sont particulièrement
élevées à Etréchy (beaucoup plus
élevées que dans toutes les communes du canton).
La conséquence est que les taxes dhabitations ou
foncières sont moins «douloureuses» à
Auvers, Chamarande, ou Lardy par exemple quelles ne le
sont à Etréchy !
ENSEMBLE,
POUR FAIRE AUTREMENT !
Retour
au sommaire de notre programme en
cliquant ici.
Dernière mise à jour de cette page
: 18/02/2008.
|